Réflexions que suggère l’actualité économique Série 2-Table des matières

Réflexions que suggère l’actualité Série 1-Table des matières
19 janvier 2024
Historique de l’euro
2 juillet 2024
Réflexions que suggère l’actualité Série 1-Table des matières
19 janvier 2024
Historique de l’euro
2 juillet 2024

Table des matières du document mis en ligne :
LE MONDE 2
La mondialisation a toujours eu des hauts et des bas ; elle est actuellement en phase basse et ne repartira pas tout de suite ! 2
Un profond changement du climat économique général. 3
L’évolution de l’indice de bonheur selon le WER 3
Dans cette période de grande volatilité, l’économie mondiale reste gangrenée par la stagflation 7
Complément : la zone euro risque elle-même davantage la stagflation que la déflation. 16
Actualisation avec le rapport intermédiaire de l’OCDE de février 2024 : 17
Changement de stratégie monétaire des Banques centrales 21
L’incertitude économique est élevée partout mais elle affecte bien plus la zone euro et la Chine que les États-Unis. 22
La montée de l’incertitude économique et ses conséquences. 22
Le cas de la Chine 23
Le cas des États-Unis 24
• Olivier Passet, Xerfi Canal, lundi 26 février 2024. 24
• Mohamed A. El-Erian, Les Echos, jeudi 29 février 2024 : 26
Hélas, il y a un fossé entre ces réalités économiques et les croyances financières. 27
Situation fin septembre 2023 : 27
Situation mi-février 2024 : 29
Y a-t-il une exubérance irrationnelle des marchés ? 30
Fin de la domination des pays de l’OCDE : 33
Le développement d’un « Sud Global ». 34
Les conséquences de la guerre en Ukraine : l’année 2024 peut être décisive. 35
Y-a-t-il « dédollarisation » du monde et vers quel système monétaire international (SMI) allons-nous ? 36
Quels pays vont être demain les moteurs de l’économie mondiale ? 43
Vers la fin du modèle mercantiliste ? 44
Quatre annexes : 46
Annexe 1 : Un panorama des Théories du Commerce International : 46
Annexe 2 : Les approches de la souveraineté économique. 49
Annexe 3 : Un historique des mondialisations : « démondialisation et démultilatéralisation, retour vers le pire ? » 49
Annexe 4 : Économie mondiale et Valeurs occidentales 52
L’évolution de l’ouverture commerciale mondiale sur longue période : 53
Une recomposition des flux commerciaux entre les pays. 55
Les effets des frontières et de la distance sur le commerce mondial : 56
D’un commerce essentiellement inter-branches à un important commerce intra-branches : 58
Une fragmentation de plus en plus intense des chaînes de valeurs : 59
Note sur le commerce intra-européen : 60
L’évolution de l’ouverture financière mondiale sur longue période. 60
L’économie mondiale devient une économie de services. Faut-il donc absolument se réindustrialiser ? 62
Le risque d’une crise généralisée de l’immobilier, qui fait penser à la crise de 2007-2008. 65
Y a-t-il une exubérance irrationnelle des marchés financiers ? 71
La probabilité forte d’une croissance de long terme plutôt molle, mais de manière inégale de part et d’autre de l’Atlantique. 75
Une modification du lien entre endettement public et inflation anticipée. 76
L’EUROPE 76
Les principaux dossiers : 76
Question énergétique 77
Question technologique et industrielle 81
Question plutôt technologique 81
Question plutôt industrielle 85
Pacte migratoire 85
Deux dossiers connexes : 86
Débat budgétaire 87
Le débat monétaire 87
Élargissement et approfondissement 89
Les deux dossiers les plus graves : 90
1) La fragmentation de l’Europe. 90
2) Les atouts qui restent à l’Europe dans notre monde multipolaire globalisé 92
À propos du discours sur l’état de l’Union de Mme Ursula von der Leyen : 93
Le point de vue de l’AIECE sur la conjoncture de l’Europe 95
L’Europe est en train de perdre la guerre commerciale mondiale 95
L’impératif de la constitution d’une Europe puissance 98
LA ZONE EURO 99
La zone euro : une croissance en berne, un modèle économique déstabilisé. 99
La zone euro décroche nettement par rapport aux États-Unis 103
Le constat : 103
Des explications : 108
• Raisons structurelles 108
• Facteurs conjoncturels 116
Compléments : 118
L’analyse synthétique sur le décrochage de la zone euro par rapport aux États-Unis proposée par l’OFCE : 122
L’hétérogénéité de la zone euro est alimentée par des facteurs de plus en plus nombreux. 126
D’abord, la mise en place de la monnaie unique a conduit les pays membres à développer des spécialisations productives différentes, 126
Il y a maintenant un couple de facteurs qui joue un rôle important : l’inflation et les taux d’intérêt. 127
Il y a même un facteur supplémentaire d’hétérogénéité de la zone euro : le niveau très différent d’endettement public des États membres. 127
Les conséquences prévisibles des nouvelles règles budgétaires pour les pays de la zone euro. 129
L’Union bancaire est en panne 133
L’Allemagne est souffrante : 133
Et si l’hypocrisie budgétaire, une fois n’est pas coutume, venait à la rescousse de la croissance européenne ? 135
LA SITUATION SPÉCIFIQUE DE LA FRANCE 137
La conjoncture française 137
La conjoncture vue par l’INSEE 137
Perspectives pour la fin de l’année 2023 137
Perspectives pour l’année 2024 140
Point de conjoncture du 7 février 2024 : 141
Point de conjoncture du 14 mars : 143
La conjoncture vue par Xerfi-Canal pour la fin 2023 (Alexandre Mirlicourtois ; 14 novembre 2023) 146
La conjoncture vue par Xerfi-Canal pour le début 2024 (Alexandre Mirlicourtois ; 10 janvier 2024) 150
La conjoncture vue par Les Echos (chronique de Jean-Marc Vittori, du 21 novembre 2023) 153
Un vent d’optimisme fin d’année 2023 ? 154
Février 2024 : Révision à la baisse de la croissance française pour 2024 ! 160
Un problème structurel inquiétant pour le long terme : l’évolution démographique 162
Un autre problème structurel inquiétant pour le long terme : l’enquête PISA publiée en décembre 2023 révèle une poursuite de la dégradation des performances scolaires. 166
La France décroche économiquement en particulier à cause de sa productivité en berne. 169
Le solde extérieur de la France se dégrade : pourquoi ? 182
La compétitivité de la France n’est donc toujours pas redressée mais son attractivité s’est bien améliorée. 187
« Une photographie du marché du travail en 2023 » 190
Peut-on augmenter les salaires ? 193
La crise de l’agriculture française 194
Évaluation de la politique de l’offre 195
1) « La France est-elle devenue business friendly sous Macron ? » 195
2) « Pourquoi la croissance française est-elle si médiocre ? » 198
Le débat budgétaire en France 199
Un monde qui change 201
Se désendetter : oui… mais pas n’importe comment ni à n’importe quel prix 205
Un plan d’économies raisonnable, une exécution très incertaine 207
Sortir de la quadrature du cercle 210
L’évaluation par la Cour des Comptes de la situation d’ensemble des finances publiques à fin février 2024 (Rapport public annuel, 12 mars 2024) 211
Six compléments 211
Dernières informations en date, février-mars-avril 2024 : 219
1- Les perspectives de croissance se sont assombries à cause essentiellement du contexte international. 219
2- L’emploi public s’est accru en 2023 de 59.000 salariés dans la fonction publique, 221
3- Le déficit public de 2023 va dépasser fortement les 4,9% attendus. 221
4- Les effets budgétaires pervers de la désinflation. 223
5- Certes, le spread de taux d’intérêt (à 10 ans) entre la France et l’Allemagne reste très bas, les agences de notation ne bronchent pas et les investisseurs internationaux n’ont pas de raison à préférer nettement une autre dette européenne que la française… 226
6- …mais le Haut Conseil des Finances publiques devient particulièrement sévère dans son avis d’avril 2024. 227
7- Alors, que peut-on faire… ? 228
8- …Surtout que, contrairement à ce que l’on pourrait croire, la dette française devient vraiment insoutenable, selon Olivier Passet 233
Le piège de la remontée des taux 235
Le poids des dépenses sociales 240
Le creusement attendu du déficit de la Sécurité sociale 242
La répartition entre salaires et profits : non seulement partage de la valeur mais aussi partage du risque 243
• Rappel préalable sur la valeur ajoutée et sa répartition entre « salaires et profits » 243
• Le partage du risque entre salaires et profits lors des chocs macroéconomiques 244
• « Les profits des entreprises sont-ils trop élevés ? » 245
• « Le maintien coûte que coûte de la paix sociale devient insoutenable » 246
Le poids des dépenses de redistribution et l’efficacité de la redistribution « élargie » 247
Deux questions en guise de conclusion (provisoire) : 251
Première question : « La politique contre l’économie » ? 251
Chronique d’Éric Le Boucher dans les Echos, du 23 novembre 2023. 251
Article du Professeur Christian Saint-Étienne dans l’Opinion du 15 janvier 2024 : 251
Seconde question : « Pourquoi les économistes disparaissent du paysage médiatique ? » 255
ANNEXE : LA SOUVERAINETÉ 257
I-LA SOUVERAINETÉ ET L’UNION EUROPÉENNE 258
1) Droit de l’Union et souveraineté nationale, comment ça marche ? » de la Commission européenne (18 octobre 2021) 258
2)L’Union européenne n’est pas démocratique ! Vraiment ? de la Commission européenne (8/7/2020) 260
4) La souveraineté est-elle soluble dans l’Union européenne ? de V. Constantinesco 262
5) Le « Rapport Balladur » 271
6) La note d’Arnaud Montebourg 273
II- LA SOUVERAINETÉ ÉCONOMIQUE EN GÉNÉRAL 274
III- LA SOUVERAINETÉ MILITAIRE ET LA GUERRE EN UKRAINE 276
IV- LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE ET LA CRISE DE L’AGRICULTURE 279
1) ÉCLIPSE PUIS RÉSURGENCE DE LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE UNE APPROCHE EN TERMES D’ÉCONOMIE POLITIQUE 279
2) AGRICULTURE « DURABLE » ET ALIMENTATION « SAINE » EN EUROPE DE LA FERME À LA FOURCHETTE…, UN TRÈS LONG CHEMIN 300
3) LES POLITIQUES DE SOUTIEN DES REVENUS DES AGRICULTEURS 313
V LA SOUVERAINETÉ INDUSTRIELLE ET LA DÉSINDUSTRIALISATION 318
TABLE DES MATIERES 322

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